Plus important que le jugement des autres, il y a le jugement que nous portons sur nous-mêmes.

(Alejandro Jodorowsky)

La pratique de la thérapie de soutien et d’accompagnement est au cœur de mon activité.

Mon approche est fondamentalement humaniste, basée sur l’écoute de l’autre afin de venir en aide à toute personne ayant besoin d’une solution pour apaiser ses maux, les comprendre, gagner en assurance, reprendre confiance en soi et avancer plus sereinement dans la vie.

L’écoute, l’empathie et la parole réparatrice constitue un socle permettant de redonner un sens à l’existence, réduire sa souffrance et améliorer sa qualité de vie.

Ma mission consiste à proposer une écoute attentive, établir un espace de dialogue afin de vous aider à y voir plus clair. Nous établirons une feuille de route et mettrons en place des solutions aux différents obstacles que nous allons rencontrer pour atteindre un objectif commun.

Ma vocation tire son essence dans la satisfaction de voir mon patient sortir d’une période de mal-être avec le sourire et une furieuse envie de vivre pleinement.

Nous apporterons des pistes de réflexions, des techniques aidant à mieux comprendre votre propre fonctionnement.

Les méthodes ne sont pas les mêmes pour tous, cependant à mon sens la relation que nous mettrons en place entre vous et moi fera la différence afin d’arriver à dépasser toutes les difficultés en toute confidentialité et sans jugement.

Quand doit-on consulter un professionnel ?

Pour faire son deuil et exprimer toutes ses émotions librement et le plus justement possible par rapport à notre ressenti on a souvent besoin de quelqu’un. On a besoin d’être écouté, entendu, accompagné avec empathie par une personne ou un groupe qui soit sécurisant et à l’écoute.

Cependant il est vraiment important de consulter un professionnel si on a l’impression de « perdre pieds » c’est à dire si l’angoisse est trop vive, la souffrance trop intense, les nuits trop courtes…

Chacun saura définir quand c’est « trop » pour lui, et surtout il n’est jamais inutile ou exagéré de consulter même s’il s’agit d’une souffrance « normale ». Ainsi, selon le Dr Alain Sautereau, trois critères nécessitent de consulter :

  1. l’intensité de la souffrance : si l’endeuillé est terrassé par l’angoisse où les crises d’angoisses se succèdent. S’il est épuisé ne parvenant pas à trouver le sommeil. Et s'il abuse de toxiques tel que l’alcool.

  2. les comportements qu’entraîne cette souffrance : s’il ne peut plus prendre soin de lui ou de ses proches (se laver, se faire à manger, prendre soin de ses enfants).S’il ne peut plus travailler ou étudier même si quelques jours d’arrêt de travail pour un adulte ou une chute des résultats scolaires durant quelques mois pour un enfant sont possibles.Et évidemment si des idéalisations suicidaires sont présentes.

  3. la durée anormale de cette souffrance au delà d’un an mais surtout de 2 ans doivent amener également à consulter. Toutefois, et même si aucun de vos symptômes ne figurent dans ces critères, il peut être bon de consulter étant donné que les obligations sociales nous pressent souvent de reprendre nos habitudes et ne respectent pas le temps du deuil.

    Or cela peut freiner et enrayer la fluidité du processus de deuil, ce qui est préjudiciable.Il est donc important de trouver un lieu sécurisant où l’on pourra exprimer son chagrin librement et évoquer sa relation au défunt sans que cela paraisse incongru, c’est là le rôle de la Praticienne en Thérapie et Coach familiale et conjugale que je suis .